1 miniature quasi-originale
La peinture montre saint Jean l’Evangéliste – vêtu d’une tunique dorée et d’un ample manteau rouge et, comme de coutume dans son iconographie, jeune, imberbe et avec les cheveux longs, symbole de jeunesse et de virginité –, en position de génuflexion, un livre sur un genou, rédigeant, non pas l’Evangile, mais l’Apocalypse qu’on lui a attribué, comme le montre ses yeux dirigés vers le haut. Dans le ciel, le fils de la femme est livré par deux anges à Dieu – représenté de buste comme un ancien avec des attributs pontifes –; elle, apparait ailée, agenouillée et les mains jointes, prête à fuir dans le désert – la lueur qui émane de son corps rappelle qu’elle est vêtue de soleil, selon le texte apocalyptique –, et la grande bataille a lieu au ciel, menée par l’archange saint Michel contre le grand serpent ailé à sept têtes et autant de couronnes sur chacune (Ap. 12, 5-7).
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La peinture montre saint Jean l’Evangéliste – vêtu d’une tunique dorée et d’un ample manteau rouge et, comme de coutume dans son iconographie, jeune, imberbe et avec les cheveux longs, symbole de jeunesse et de virginité –, en position de génuflexion, un livre sur un genou, rédigeant, non pas l’Evangile, mais l’Apocalypse qu’on lui a attribué, comme le montre ses yeux dirigés vers le haut. Dans le ciel, le fils de la femme est livré par deux anges à Dieu – représenté de buste comme un ancien avec des attributs pontifes –; elle, apparait ailée, agenouillée et les mains jointes, prête à fuir dans le désert – la lueur qui émane de son corps rappelle qu’elle est vêtue de soleil, selon le texte apocalyptique –, et la grande bataille a lieu au ciel, menée par l’archange saint Michel contre le grand serpent ailé à sept têtes et autant de couronnes sur chacune (Ap. 12, 5-7).